March LA.B présente la Belza. En baptisant sa montre ainsi, la marque française adresse un clin d’œil à la villa Belza, le luxueux hôtel particulier juché sur la falaise de Biarritz dominant la plage. C’est sur cette même plage qu’en 1957 , Peter Viertel, cinéaste américain s’est jeté pour la première fois à l’eau avec une drôle de planche en guise de monture, sous le regard impressionné des baigneurs. Depuis, les surfeurs du monde entier en ont fait un de leurs spots favoris, hissant la ville de Biarritz au rang de capitale du surf. Alors, quand on sait que la cité du sud ouest est le berceau de la griffe, fabriquer une plongeuse relevait presque du bon sens !
Sportive et vintage
Mais que vaut-elle vraiment ? En plus d’être taillée pour dompter les vagues les plus féroces en assurant une étanchéité à 200 mètres, la Belza réunie tous les ingrédients qui font le succès de la marque: une bouille simple et vintage, un esprit sportif et une fabrication made in France.
Elle est servie sur un boîtier en acier inoxydable de 40 mm de diamètre doté d’une couronne vissée à 4h pour un confort optimal. Comme toute bonne plongeuse, elle est surmontée d’une lunette tournante noire graduée et d’un verre saphir bombé avec traitement anti-reflet. Son cadran, disponible en quatre versions, Océan (soleillé bleu), Grall (laqué vert), Forest (soleillé vert) ou Chet (laqué kaki), joue la sobriété et affiche trois aiguilles, des index bâtons ornés de Superluminova, et un guichet date à 3h.
Côté bracelet, on apprécie la possibilité de la customiser au grès de ses goûts en choisissant entre le silicone, le cuir, ou l’acier trois maillons.
Pour le moteur, la Belza se laisse entraîner par un mouvement automatique Miyota 8215 protégé par un fond vissé gravé Belza qui promet 42 heures de réserve de marche.
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