D’un côté TAG Heuer, l’un des fleurons du groupe LVMH, de l’autre, la figure avant-gardiste et coqueluche de la culture urbaine Alec Monopoly. Après la Formula 1, éditée en 2017, les deux styles fusionnent à nouveau pour donner naissance à deux garde-temps à la silhouette Street-Art. Une nouvelle Formula 1 trois aiguilles, et une Carrera CH 01, disponibles en édition limitée. Découvrez-les dans nos boutiques à Lille, à Rouen, au Havre et sur notre site Lepage.fr.
En s’associant avec l’artiste iconoclaste Alec Monopoly, TAG conjugue créativité et audace. Il y a tout juste deux ans, la marque a choisi de faire confiance à l’homme masqué d’un bandana et coiffé d’un chapeau haut-de-forme, pour impulser une dynamique artistique à la Maison horlogère.
Il faut dire que le graffeur s’impose aujourd’hui comme la valeur sûre de la culture Street-Art. Ses œuvres subversives à l’image de la célèbre mascotte du jeu de société, trônent sur les murs les plus célèbres d’Hollywood. Les plus grandes stars s’arrachent en effet son coup de pinceau résolument avant-gardiste.
Jouer la différence
Avec cette association, il s’agissait pour TAG Heuer d’entreprendre un remaniement artistique transversal. Aussi, Alec Monopoly ne se contente guère d’officier comme ambassadeur, mais comme – dixit TAG Heuer – « Art Provocateur ». Depuis deux ans, l’artiste dépose son empreinte à tous les niveaux créatifs de la marque. Événementiel, marketing, communication… entre autres.
« Etre premier, unique, différent est ma philosophie depuis 40 ans. Avec Alec comme Art Provocateur au sein de mon équipe chez TAG Heuer, je souhaite non seulement continuer à reconnecter la marque aux jeunes générations, aux millenials, mais aussi ouvrir de nouveaux territoires d’expression (…) Sa créativité disruptive et son enthousiasme sont contagieux« , disait-il lors de l’annonce officielle de leur collaboration il y a deux ans.
Une Carrera et une Formula 1 signées Monopoly
Mais, s’il y a bien un domaine où l’on s’impatiente d’admirer Monopoly déployer l’étendue de son talent, c’est bien dans la direction artistique. Après l’immense succès rencontré par l’édition spéciale de la Formula 1 en 2017, l’artiste récidive! Deux nouvelles références frappées du sceau coloré d’Alec Monopoly viennent tout juste d’éclore.
D’abord, une nouvelle Formula 1 trois aiguilles/date, revisitée dans une version plus sportive. Elle se distingue par sa lunette tournante unidirectionnelle en acier revêtu de PVD noir, assise sur un boitier de 41 mm de diamètre. Elle accueille le mouvement TAG Heuer à quartz, l’un des plus fiables fabriqués en Suisse. Le tout, servi sur un bracelet en cuir noir perforé à boucle ardillon.
A ses côtés, on retrouve avec plaisir le design racé de la Carrera, proposée sur un boitier de 43 mm de diamètre. Sa lunette en céramique noire, son échelle tachymétrique, ses trois compteurs (heures, minutes, petite seconde) et son guichet date à 3h… tout y est! Le dos de la montre, dédicacé de la main de l’artiste, est surmonté du logo TAG Heuer sur fond transparent pour apercevoir le calibre Heuer 01 100% manufacture, célèbre pour son extrême précision et ses 50 heures de réserve de marche. Élégance sportive oblige, elle est proposée sur un bracelet acier à boucle déployante.
Côté look, si certaines collaborations peuvent se révéler discrètes, pour celles-ci, il n’en est rien. L’univers de l’artiste est visible au premier coup d’œil. Comme il le ferait sur un mur au détour d’une ruelle, Alec Monopoly signe sur les deux cadrans une imposante fresque à son effigie.
Deux garde-temps uniques, créés – cela va sans dire – en édition limitée. La Formula 1 a été créée à 1500 exemplaires, tandis que pour la Carrera, seuls 500 exemplaires sont disponibles à travers le monde.
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