Arthus Bertrand Médailles Vierge Miraculeuse

Les médailles Vierge Miraculeuses d’Arthus Bertrand sont de petits pendentifs colorés représentant la Vierge Marie. Très populaires, ces pendentifs se portent aussi bien en collier qu'en bracelet, seuls, accumulés, ou superposés à une médaille de baptême par exemple ! Un bijou intemporel et intergénérationnel.

L’histoire de la médaille Vierge Miraculeuse

Aussi connue sous le nom de la médaille de Notre-Dame des Grâce, la médaille Vierge Miraculeuse est une médaille catholique, qui fut frappée pour la première fois en 1830 suite à l’apparition de la Vierge Marie à une Chrétienne, en la Chapelle de la rue du Bac à Paris. Selon la tradition catholique, c’est directement à la demande de la Vierge Marie que naquit cette médaille, comme gage d’amour, de protection et de grâce. Elle fut un succès immédiat, et rapidement distribuée dans toute l’Europe. De nombreux témoignages de miracles furent alors relatés, et attribués à ce pendentif, d’où la dénomination sous laquelle on la connaît aujourd'hui : “Médaille Miraculeuse”.

Tous les symboles que renferme la médaille Vierge Miraculeuse

La Vierge Miraculeuse, bien qu’elle existe dans de nombreuses déclinaisons de matériaux, dimensions et coloris, est toujours de forme ovale. Globalement, bien que certains détails peuvent varier d’un bijou à un autre, elle représente généralement toujours les mêmes motifs.

Le recto de la médaille

On trouve sur le recto de la médaille une représentation de la Sainte Vierge Marie, mère de l’enfant Jésus, auréolée de lumière. Debout sur un globe terrestre, écrasant un serpent représentant le péché et la tentation, elle se tient les bras écartés et paumes vers le haut, figée dans l’attitude d’une une prière muette, ouverte aux autres et sur le monde. Selon les modèles, son pourtour peut être gravé d’une inscription “Ô Marie conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à vous”, faisant référence à l'immaculée conception. Cette prière est l’invocation suggérée pour en obtenir la grâce souhaitée.

Le verso de la médaille

Au verso de la médaille se trouvent également plusieurs éléments symboliques. Au centre, la lettre M, initiale de Marie, enlaçant une barre horizontale qui soutient la croix chrétienne sur laquelle Jésus fut crucifié par les romains. Cette composition illustre le lien indéfectible qui les unit. Sur le contour de la médaille, douze étoiles représentant les douze tribus d’Israël, ainsi que les douze apôtres. Finalement, en bas de la médaille, deux cœurs côte à côte surmontés de couronnes représentent le cœur de Marie, transpercé d’un glaive et le cœur de Jésus, entouré d’une couronne d’épine. Ces deux cœurs se veulent être une allégorie de la passion, du sacrifice, de la douleur d’une mère devant la souffrance de son fils, et illustre le fait que ceux qui croient en l’Eglise et en Dieu ne peuvent être séparés.

D’objet religieux à bijou esthétique

De nos jours, la médaille Miraculeuse est toujours portée comme un signe religieux, mais s’est également popularisée au point de devenir un accessoire esthétique. Existant sous de nombreuses formes, elle se décline désormais en or blanc, or jaune, or rose, ornée de laque colorée et même de diamants dans ses versions les plus précieuses. Arthus Bertrand propose une large sélection de modèles, pensés pour être portés seuls, les uns avec les autres, en combinaison à une médaille de baptême, sur une chaîne autour du cou ou du poignet, sur un ruban à nouer autour du poignet… Libre à vous de laisser parler votre imagination et d’arborer votre médaille Miraculeuse comme vous l’entendez, au gré de vos envies !