Montre Seiko Presage Watchmaking Takumi ‘Laurel’ 110eme Anniversaire automatique cadran email blanc bracelet cuir 37,5 mm

Laurel : Première montre-bracelet japonaise

L'histoire de Seiko commence en 1881 lorsque Kintaro Hattori ouvre à Ginza un magasin de réparation et de vente d’horloges. En 1892, il crée une usine appelée Seikosha pour produire ses propres horloges. A cette époque, au début de l’ère Taishō, les montres de poche étaient encore si populaires que seules quelques montres-bracelets étaient importées au Japon. Toutefois, Kintaro Hattori ne savait se contenter de suivre la tendance, et était déterminé à vouloir profiter d’une « longueur d’avance » sur tout autre concurrent, se lançant le défi de créer la toute première montre-bracelet du Japon. Et ses efforts payèrent en 1913, lorsqu’il présenta au monde la Laurel. Bien qu’à ses débuts la société ne pouvait fabriquer que 30 à 50 montres par jour, ce modèle représentait une exclusivité absolue : pour la première fois, Seiko bénéficiait d’un incroyable avantage sur ses concurrents.

Après ce lancement, Seikosha a fait d'énormes progrès dans le développement de toutes les technologies de fabrication de montres-bracelets, de la conception à la micro-fabrication en passant par la fabrication de machines-outils. En 2014, la Japan Society of Mechanical Engineers a désigné la Laurel comme l'un de ses "patrimoines d'ingénierie mécanique" en reconnaissance de sa contribution au développement de la technologie mécanique.

Inspirée du modèle d’époque

Cette nouvelle montre reprendre la forme et le design de la Laurel dans les moindres détails, notamment les proportions, la forme des cornes, la typographie et la couleur avec notamment la signature rouge à 12 heures.

Le boîtier rond en acier de 37,5 mm de diamètre est soigneusement conçu pour conserver l’élégance de l’original, tout en abritant un mouvement automatique moderne. La grande couronne a également été fidèlement recréée, en accord avec l'aspect nostalgique de ce garde-temps spécial.

Cette Presage Takumi, tout comme l'original de 1913, présente un cadran en émail pur. Sa profondeur et sa beauté, ainsi que sa durabilité dans le temps, sont rendues possibles grâce à l’expertise dans la production d’émail du maître artisan Mitsuru Yokohama et de ses équipes. Les mêmes chiffres arabes caractéristiques marquent les heures, y compris le dessin distinctif du chiffre quatre. On retrouve au centre, par deux aiguilles poires d'une couleur bleue et une fine trotteuse bleutée. Le compteur de date à 6 heures s’inspire de la petite seconde présente sur le modèle d’époque.

Cette SPB359J1 est habillée d’un bracelet « bund » en cuir de cerf marron à l’aspect vieilli, et est surmonté d’un verre saphir bombé anti-reflet, renforçant son côté vintage. Le dos du boîtier de la montre porte les mots "Limited Edition" et le numéro de série.

Un calibre automatique

La réédition de la Laurel est animée du très performant calibre 6R27 de Seiko, qui comporte un indicateur de réserve de marche à neuf heures et un indicateur de date à six heures. Il bat à 28.800 alternances/heure et offre une autonomie de 45 heures de réserve de marche.

En bref :

• Une réédition de la première montre-bracelet japonaise
• Une édition limitée à 2500 exemplaires
• Un cadran exceptionnel fait main par un artisan japonais